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Entretien des circuits

Le MEMENTO DES RECOMMANDATIONS POUR L’ENTRETIEN DES CIRCUITS D’ESCALADE

MEMENTO DES RECOMMANDATIONS POUR

L’ENTRETIEN DES CIRCUITS D’ESCALADE

INTRODUCTION
- Les circuits d’escalade
- Entretien – Réfection

PREPARATION DE LA REALISATION
- faisabilité du projet, ONF
- nettoyage

METHODES POUR LE BALISAGE
- A main levée
- A main levée avec gabarits
- Au pochoir
- Méthode “allégée” du pochoir

LA PEINTURE
- Choix de la peintures, des pinceaux, et pratique
- Transport et stockage du matériel
- Après une séance de peinture

COULEURS et SYMBOLES
- Couleurs
- Symboles
- Quelques conseils pour positionner les symboles

ENTRETIEN DE CIRCUIT PAR UNE COLLECTIVITÉ

ANNEXES TECHNIQUES

  1. Décapage.
  2. Peintures
  3. Brosses
  4. Pinceaux
  5. Pochoirs

RECAPITULATIF DU MATERIEL

INTRODUCTION

Depuis la création du premier circuit d’escalade en 1947 au Cuvier-Rempart une multitude de parcours de toutes difficultés ont été tracés.

Un minimum de coordination et de rigueur s’imposait notamment pour la dimension des balises ; dès 1972 le COSIROC créa une commission circuits qui prit très vite une place essentielle, d’abord dans la coordination des associations et des individuels impliqués dans ces réalisations, puis, plus tard, dans les relations avec les autres usagers et l’ONF.

Un guide des recommandations est réalisé en 1982. Ce petit mémento l’actualise.

ENTRETIEN - REFECTION

Nous distinguons le simple entretien d’un circuit (repeint à l’identique ou avec des modifications mineures) de sa réfection lorsqu’il est profondément repensé ou recréé.

Précisons ici que si un circuit, comme un topo, est une œuvre achevée au moment de sa création il ne peut être immuable. C’est une réalisation susceptible d’être modifiée dans le temps ne serait-ce qu’à la suite de l’évolution du milieu dans lequel il se déroule, problème d’érosion notamment.

PREPARATION DE LA REALISATION

Au préalable, il est primordial de vérifier la faisabilité auprès du propriétaire ou du gestionnaire. En forêt domaniale la décision finale revient à l’ONF.

Avant de peindre, il est bien de supprimer autant que possible les résidus de l’ancien balisage, par un brossage énergique mais sans léser la surface du grès de préférence à l’utilisation d’un super décapant pas écolo du tout (Cf annexes techniques n° 1). Ne pas peindre à côté du précédent balisage non entièrement effacé.

Le nettoyage des mousses et lichens des prises du passage et de l’emplacement des futures flèches et numéros doit être effectué sans léser la surface du grès, faire très attention aux grès tendres. Pour enlever une fine pellicule de mousse, de l’eau et une brosse nylon sont parfois plus efficaces qu’un brossage à sec.
Matériel : des brosses (Cf annexe technique n° 2), un grand chiffon (2m² environ), … des lunettes de protection et des gants sont recommandés (poussières dans les yeux, écorchures diverses).

METHODES POUR LE BALISAGE

Quelque soit la méthode employée, ne réaliser que le minimum de symboles nécessaire à un guidage efficace. Il n’est pas choquant d’avoir parfois à chercher un peu pour trouver le prochain point balisé.

- A main levée
Cette méthode nécessite un matériel bien adapté, une peinture pas trop fluide, beaucoup d’attention et surtout, de l’expérience !
- A main levée avec gabarits
Vous pouvez pourvoir au manque d’expérience en préparant des gabarits « en négatif » découpés dans un matériau mince et souple (carton plastifié, papier photo, radiographie, contenants de barquette alimentaire, …). Le tracé des contours des signes sur le grès s’effectue avec un crayon de papier à mine dure (2H ou plus ; penser au réaffûtage sur place). Ces gabarits de traçage sont conseillés si vous effectuez la peinture en groupe.
- Au pochoir
Efficace pour obtenir des tracés homogènes, mais difficile sur un rocher rarement plat. Aussi nous ne pouvons la conseiller .
- Méthode “allégée” du pochoir
Technique mixte : tamponner légèrement à l’intérieur du pochoir avec un pinceau à poils raides, puis finir le symbole avec un petit pinceau.
NB : La fabrication des pochoirs et gabarits, demande de la précision.
L’envers des pochoirs doit rester exempt de peinture et de solvant sous peine de bavures.

PEINDRE !

La couleur correspond à la difficulté de l’ensemble du circuit (Cf Couleurs et symboles,).

Type de peinture (Cf annexes techniques n° 3). Les plus employées sont de type ’glycéro’. Pourtant les laques acryliques extérieures sont de très bonnes tenues, et, très faciles à effacer simplement avec de l’eau tant qu’elles ne sont pas sèches, nous pouvons les conseiller surtout si vous débutez et n’êtes pas sûr de vous.
0,2 litre représente une quantité amplement suffisante pour une piste de longueur moyenne. Bien lire les instructions données par le fabricant.

Précaution : disposer des panneaux avertisseurs datés du jour le long de l’itinéraire.

Les pinceaux, choix : Cf annexe technique n° 4
L’emploi d’un pinceau, trop chargé en peinture, mal entretenu, ou l’utilisation d’une peinture trop liquide, conduit invariablement à des bavures.
Il faut essuyer le pinceau pour éviter qu’il ne « s’empâte ». Le tremper régulièrement dans du solvant puis le « sécher » avec un chiffon.

La pratique
Il est préférable de manier de faibles quantités de peinture, 5 centilitres dans un petit pot suffisent.
Un petit pot également du diluant adéquat dans lequel on trempe et nettoie les pinceaux, ce petit pot permettant aussi de diluer la peinture s’il le faut (qcq goutte seulement, qu’on peut déposer avec le pinceau, ou un goutte à goutte). Ce diluant peut être du white spirit pour de la glycéro ou de l’eau pour une peinture acrylique.

Toujours brosser et dépoussiérer (chiffon) la zone prévue pour le signe. Sa surface doit être sèche. En cas de bavures, les nettoyer immédiatement avec un chiffon imbibée de solvant, de l’eau et une brosse nylon (brosse à dent) pour une peinture acrylique.

Si la peinture est trop fluide, il faut laisser le solvant s’évaporer un peu. A contrario, la peinture s’épaissie durant le travail, rajouter alors quelques gouttes (seulement) de solvant, puis mélanger consciencieusement l’ensemble pour retrouver sa fluidité initiale.
Une deuxième couche est indispensable après un délai minimum de 24 heures. Un très léger brossage de la première couche augmentera significativement l’adhérence de la seconde.

Le pot renversé
Vous pouvez être confronté à ce genre d’incident. Dans ce cas il faut rapidement nettoyer les coulures de peinture
- pour de la peinture acrylique avec de l’eau et une brosse nylon.
- pour de la peinture glycéro avec des poignées de sable ou de mousses, puis enlever le mélange. Surtout ne pas le laisser en place.

Transport et stockage du matériel
Une boite ou ce qu’il vous convient pour transporter tout le matériel nécessaire : brosse(s), pinceaux et leur protection, pot de peinture, pot de solvant, eau, lunettes, gants, chiffons, canif, etc.

Après une séance de peinture
Il est conseillé de stocker « à l’envers » (couvercle en dessous) le pot avec le reste de peinture, de soigneusement reboucher le bidon de solvant qui est souvent volatil
D’essuyer puis de nettoyer les pinceaux avec du solvant :
- simplement avec de l’eau et du savon pour de la peinture acrylique
- avec du white spirit pour de la glycéro (certains les enveloppent dans un torchon imbibé de solvant puis roulent l’ensemble dans un sac étanche d’autres les mettent dans une bouteille plastique bouchon vissé avec solvant).
Pour les pochoirs, les nettoyer et les faire sécher avant réutilisation.

COULEURS et SYMBOLES

Couleurs

Les couleurs des symboles dépendent de la cotation globale du circuit.

Cotation moyenne des passages Cotation globale COULEUR
E BLANC (Enfant)
1 F inf. à F sup. SAUMON (Familiale)
2 PD inf. à PD sup. JAUNE
3 AD inf. à AD sup. ORANGE
4 D inf. à D sup. BLEU
5 TD inf. à TD sup. ROUGE
6 / 7 ED inf. à ED sup. NOIR (ou BLANC)

NB : Il existe 3 exceptions « historiques » : les « boucles » jaune et rouge du Cuvier-Rempart et le circuit mauve de la Dame Jeanne.

Symboles
Les dimensions des symboles peuvent légèrement varier en regard des spécificités du site, de la végétation environnante, de l’éloignement des blocs,… mais aussi selon le « sens artistique » de leur auteur.
En dehors de ces considérations, les dimensions maximales suggérées :
- Le triangle isocèle : base 2,5 cm ; hauteur 3,5 cm
- Le point : diamètre 2,5 cm
- La flèche : triangle avec une queue, brisée ou non, de 4 cm maximum
- Numéros : hauteur de 20 à 25mm

Le triangle remplace la flèche autant que possible.

Le numéro seul peut suffire pour certains circuits.

NB : Un petit point à coté du numéro peut indiquer la direction conduisant vers le prochain passage ( 6° ) ou un simple chevron, ∧ , à proximité .
Pour un circuit à enchaîner une flèche indique la descente ; un point directionnel indique globalement la direction à suivre après avoir quitté le bloc.

Avantage comparatif du numéro avec triangle et du numéro seul :
- le triangle se voit bien, mieux que le numéro seul, mais est moins discret …
- le triangle tient plus longtemps, s’efface moins vite, que le numéro.
- le numéro seul, moins directif que le triangle ou la flèche, donne plus de liberté et suscite plus de recherche sur l’itinéraire, ce qu’on peut ou non rechercher (pour des circuits difficiles comme pour des circuits faciles ou enfants, qui adaptent ainsi la voie en fonction de leur morphologie).

Symboles de départ et d’arrivée
Un rectangle informatif placé au départ du circuit contient les indications importantes, la cotation d’ensemble, le numéro repère du circuit dans le site, un point de la couleur du circuit … (l’année de la dernière réfection devrait dorénavant être signalé sur ce site web)
Le A d’arrivée sera placé au sommet ou sur la voie d’arrivée.

Symboles inutiles
Certaines balises seront systématiquement supprimées et surtout ne doivent plus être peintes : les pointillés d’interdiction de prises, les signatures (sigles, initiales, symboles, flèches d’identités), les tags, etc.

Quelques conseils pour positionner les symboles

Éviter d’utiliser la végétation, très évolutive, comme support. Éviter de « polluer » un rocher remarquable avec des symboles trop gros et trop nombreux, la discrétion est de mise, le numéro de la voie suffit en général. Il est conseillé de ne pas peindre sur le grès tendre (le pouf) qui « boit » la peinture, ou sur le quartzite (les marbres) où elle adhère peu.

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Le numéro de la voie doit être positionnée à hauteur d’homme à son début ; il est inutile d’ajouter des indications redondantes ou superflues.

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Toutefois, lorsqu’un passage est très long ou sinueux comme une traversée sur plusieurs faces, on peut, si et seulement si nécessaire, compléter l’indication de la voie par un ou plusieurs points en donnant approximativement la hauteur des pieds, pas sur les prises !


La flèche à queue pointillée est réservée aux véritables variantes d’itinéraire d’une voie balisée ; le Bis étant lui une voie marquante proche mais différente de celle repérée par un numéro.

Si des sauts peuvent avoir un intérêt, il est recommandé d’éviter ceux en profondeur (Plus de 50 cm)

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ENTRETIEN DE CIRCUIT PAR UNE COLLECTIVITÉ

Deux grands types d’entretien relativement aisés sont pratiqués par des collectivités associatives : les nettoyages d’un circuit et de ses abords et les entretiens de la peinture.
La réalisation d’ouvrages de lutte contre l’érosion (troncs en travers de la pente, murets en pierres locales) sort du cadre de ce fascicule. Il s’agit de travaux qui, après accord du gestionnaire du site, demande une organisation sans faille avec parfois des moyens importants et une coordination qui ne s’improvise pas.

1. les nettoyages, les effaçages, les suppressions des lichens, mousses et branches encombrant le tracé d’un circuit. Ce type d’entretien a régulièrement donné des résultats probants.

Évaluer le nombre de personnes qui y participeront et donc le matériel nécessaire. Brosse métallique, gants de protection épais, scie d’élagueur etc. Des lunettes de protection individuelles sont très recommandées.

2. les entretiens "peinture" (surtout pas de modifications d’itinéraire ou, le cas échéant, les réaliser avant) : les principaux points cités plus haut restent valables, seul change le matériel ainsi que sa préparation :

a) Évaluer le travail à effectuer et le nombre d’équipes. Un groupe de deux traceurs non spécialistes mettra plus d’une heure pour la réfection d’un tracé sur 10 numéros.

b) Évaluer le matériel nécessaire : un pinceau, un petit pot de peinture, un petit pot de solvant, une paire de gants de protection en toile fine (qui permet l’évaporation de la sueur contrairement aux gants en latex) et un chiffon par personne. Au minimum une brosse métallique par équipe de deux.

c) Préparer ce matériel quelques jours avant l’opération, le remplissage des pots individuels pourra se faire sur place avec une petite louche ou une seringue à gros orifice.

d) Prévoir la dispersion des équipes le long du circuit : amener les diverses équipes au début de la zone dont elles effectueront l’entretien.

e) Après la fin des interventions récupérer le matériel et les déchets générés.

ANNEXES TECHNIQUES

1 Décapage.
NB : Le décapage au chalumeau est proscrit car la chaleur fait éclater la surface de la roche.

Matériel nécessaire : de l’huile de coude et …
un décapant chimique pas écolo du tout

Nous vous recommandons de lire très attentivement les indications données par le fabricant. Une tenue vestimentaire adaptée est conseillée. Elle doit protéger les yeux, les mains (gants étanches), les avant-bras et les jambes. Le port de lunettes de protection, enveloppantes ou avec coques latérales, est plus que recommandé. Le pot « de service » doit pouvoir être tenu facilement dans une main (10cm de diamètre et contenance de 400ml minimum) et sera rechargé régulièrement. Certains pots en plastique (cosmétiques) avec couvercle vissés conviennent particulièrement bien. Ils permettent d’éviter l’évaporation du produit actif lors des périodes de brossages (et les bavures sur la peau lors de leur transport).

L’usage du décapant chimique fait aussi courir des risques à ceux qui fréquentent le site. Il est alors impératif de surveiller les abords de votre zone de travail pour éviter qu’un enfant vienne tremper ses doigts dans votre "confiture". Disposer des panneaux avertisseurs.

Comment utiliser le décapant
Le produit s’applique directement sur l’ancienne balise à l’aide d’un pinceau souple et large (15 à 25 mm suffisent largement). Après un temps d’action variable (cf fabricant) la peinture se déstructure. Enlever le mélange superficiel avec une lame métallique (ex : couteau à enduire) puis brosser ce qui adhère au rocher. On peut agréger le mélange par projection de poignées de sable ou de mousses. A renouveler si nécessaire.
NB : En plein soleil, le produit actif s’évapore rapidement sans avoir attaqué la peinture de façon satisfaisante. Par temps froid, le décapant reste toujours actif mais le temps de traitement est augmenté de façon sensible.
Si l’on souhaite repeindre au même endroit, il faut rincer la zone décapée ou attendre une prochaine pluie. Un pulvérisateur ménager et une brosse en nylon convienne parfaitement. Dès la fin du séchage, la surface est utilisable.

Précautions
Prévoir un bidon d’eau pour se rincer abondamment le visage en cas de projection dans les yeux (attention durant le brossage). Une fois ce geste effectué, il est recommandé de consulter sans tarder un ophtalmologiste. Pour la peau un rinçage suffit.
Le matériel (pinceau, pot, brosse) sera rincé sur place immédiatement après usage. Le risque de dégradations diverses en sera très diminué.

2 Brosses
- Brosse nylon pour les grès tendres.
- Brosse métallique, au choix :
- en bois avec manche en "queue de morue" (poils implantés dans le prolongement du manche)
- convexe avec manche plastique
- standard
- Éventuellement balais ou balayette pour dégrossir les grandes surfaces.
Rappel de sécurité : gants résistants et lunettes de protection !

3 Peintures
Une laque acrylique, écologique, très facile à nettoyer avec de l’eau tant qu’elle n’est pas sèche, est conseillée surtout si vous débutez et n’êtes pas sûr de vous.
Les laques polyuréthanes, très résistantes, ne sont pratiquement plus disponibles en petites quantités.
Qu’elles soient de type glycérophtalique ou acrylique, il est préférable d’employer des laques brillantes pour extérieur (évitez les peintures mates ou satinées qui facilitent la tenue des mousses et lichens) et, surtout, de soigner la préparation du support lors des deux couches obligatoires .

4 Pinceaux

Les techniques et la dextérité de chacun étant différentes nous vous laissons apprécier celui qui vous convient le mieux ; mais à main levée il semble déraisonnable d’utiliser un pinceau trop gros (numéro 2 maximum), usé ou de mauvaise qualité.
NB : Votre travail sera jugé durant des années !

Exemples :
pinceau poils souples assez courts, pointu de préférence. Ce type de pinceau, permet un travail précis et bien "fini".

brosse plate ou ronde à poils raides n° 2, éventuellement raccourcis au cutter (ou d’excellents ciseaux) à une longueur de 5 à 7 mm.

pour la méthode allégée du pochoir : brosse à poils raides n° 2 coupé droit assez court 5 à 7 mm, que l’on applique perpendiculairement au rocher sans écraser les poils. Elle doit être peu chargée en peinture. Un petit pinceau souple pour la finition.

5 Pochoirs
Utilisation
L’envers des pochoirs devra être exempt de peinture. Dans le cas contraire les nettoyer et les faire sécher obligatoirement avant toute nouvelle réutilisation. Ne pas les ranger collés l’un contre l’autre après utilisation (astuces : les suspendre avec des pinces à linge, doubler voir tripler les pochoirs dont on a le plus besoin (flèches, point, n° 1, 2,…).

Fabrication
Imprimer les divers symboles, lettres et chiffres dont vous avez besoin. ( △ ,⇧, ô, a, b, c, t, P, A, D, T, E, 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, …)
Coller cette feuille sur du papier carton plastifié, papier photo, plaque de plastique mince, … (matériaux souple et non absorbant) ; puis découper au cutter (long et délicat).
Une police linéale, sans empattement, sans serif, sans fioritures, et évidemment plus facile à réaliser. Sous windows, Arial, Helvética, Verdana, … sous Linux, Pothana, Vemana, … mais libre à vous de faire plus beau et compliqué, si vous le faites bien !

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Exemple


RECAPITULATIF DU MATERIEL

Dans tout les cas : matériel d’assurage si nécessaire

BROSSAGE
- Brosse nylon (grès tendres)
- Brosses métalliques (acier laitonné ou acier tendre)
- Lunettes de protection enveloppantes (plus que recommandées)
- Gants « indéchirables » (évitent les écorchures)
- Balais de cantonnier, balais de paille ou balayette (selon surface)
- Chiffons

MATERIEL D’EFFACAGE
- Décapant
- Récipient (résistant au décapant) de 300 à 500 ml.
- Pinceau brosse (15 à 25 mm)
- Lame métallique (couteau à enduire)
- Brosse métallique (acier laitonné ou acier tendre)
- Lunettes de protection enveloppantes (vivement recommandées)
- Gants étanches (résistant au décapant)
- Vêtements adéquats
- Chiffons
- Eau
Facultatif :
- Pulvérisateur et brosse nylon
- Bidon d’eau de 5 litres (sécurité et nettoyage du matériel)

MATÉRIEL DE PEINTURE
- Pinceaux
- Pochoirs ou gabarits et crayons à papier à mine dure (+ taille crayon)
- Brosse métallique (acier laitonné ou acier tendre)
- Brosse nylon (brosse à dent)
- Chiffons
- Pot de peinture
- Récipient de 50 à 100 ml
- Solvant et chiffons
- Récipient avec solvant.
- Gants de toile (permettent l’évaporation de la sueur)
- Vêtements adéquats
- Couteau

La finalisation de ce mémento, d’abord initiée par JJ Naëls, représentant FSGT au cosiroc, puis récupéré par Oleg S. Pdt du cosiroc, puis "aux auteurs trop nombreux pour être tous cités" à été décidée lors de la commission circuit du cosiroc présidée par Pascal Etienne (FSGT) le 21 mai 2011. A un moment de son élaboration, Oleg, vice-président du cosiroc et Jean-Yves son secrétaire, ont décidé d’arrêter ce collectif, regrettant de l’avoir sollicité : "J’ai fais une grave erreur au départ : il aurait fallu désigner (élire) un responsable de projet ayant voie définitive pour les choix finaux" OS, "La rédaction à 10 mains ce n’est pas possible" JYD. La version officiel du COSIROC est leur version, la version présentée ici est celle issue du travail collectif. Vous pouvez comparer ici : "Les exemples, schémas, formes, dimensions ne sont que des suggestions dont l’intérêt est d’avoir été « validées » par les organismes gestionnaires des terrains (ONF, CG,…), qui pourraient demander la suppression de symboles à la « tonalité artistique trop marquée »" foutaises ! "Le A d’arrivée, souligné pour le différencier du A de « aller », sera placé au sommet de la voie d’arrivée" qu’on se le dise ! (et autres bêtises : "S’il n’est pas visible du pied de la voie, deux petits traits discrets au niveau du numéro repère peuvent indiquer sa présence et sa direction" comme pour le petit point pour indiquer le n° suivant, je vous laisse imaginer les conséquences —^ , et pour rire aller voir l’effet sur l’orange de la 91.1, les grimpeurs s’essayent incrédules à une traversée — ;-) . J’ai bien essayé, conciliant du consensus, de remplacer 2 petits traits par 1 ou 2 petit trait. Nous nous étions, Greg et moi opposés à ces 2 petits traits, mais ça leur était insupportable. L’édition du « Mémento pour l’entretien des circuits d’escalade » version Oleg Sokolsky / Jean-Yves Derouk à 350 exemplaires a été prise en compte sur le budget 2012 du cosiroc pour un montant de 455€ ! Non mais c’est qui le chef ! voilà de l’argent bien dépensé. Pascal Etienne a démissionné de la commission circuit à l’AG 2102, et je me suis personnellement fait évincé du bureau de bien vilaine manière : AG du cosiroc convoqué suite à un sondage doodle non pas à la date idéal qui en ressortait mais à une date où je ne pouvais venir ! les malins …